Tahiti -Windstar

[dandee2]

Je suis de retour

23 juillet 2017. . .

C’est plaisant de pouvoir demeurer à quai pour la nuit car, pour plusieurs, c’est le moment attendu pour descendre à terre et prendre des nouvelles de la famille dans l’un des bars qui ferment tard et qui offrent une connexion internet. Ce sont surtout les employées du navire qui en profite. Quant à nous, après tant de péripéties, nous étions bien heureux de revoir notre cabine.

Au petit matin (6 h 30), nous quittons le quai de Uturoa pour se rendre à Taha’a ou nous attends d’autre aventures. Une ancienne légende dit que Raiatea et Taha’a étaient à l'origine une seule et même île jusqu'à ce qu'une anguille géante ait avalé une jeune fille. Possédé par son esprit, la créature enragée traversa la surface de la terre, provoquant une vague géante. L'impact de l'eau a coupé l'île en deux et Raiatea et Taha’a furent ainsi créés.

A peine une quinzaines de kilomètres nous sépare maintenant du Motu Mahaea, un îlot au large, près de la barrière de corail mais à l’intérieur du lagon. Une ondée s’annonce sur notre route mais par chance, cessera juste avant la mise à l’eau de l’ancre du Wind Spirit. Les employées s’affairent depuis notre départ de Raiatea afin de préparer notre journée sur cet endroit qui sort tout droit d’une carte postale (ou d‘un calendrier !). C’est incroyable de voir la préparation qui se déroule sous nos yeux. La nourriture, les couverts, les boissons, les nappes, etc. qui prennent place à bord des deux zodiacs qui font l’aller-retour. *

Vers 9 h 30, nous mettons pieds sur le motu après une dizaine de minute à bord d’un des zodiacs. Nous sommes accueillis sur le quai par le directeur de l’hôtel et les barmans qui nous offrent un bon punch servi dans une noix de coco. Nous partons explorer les lieux avant de dénicher un bel endroit à l’ombre pour relaxer. L’île est verdoyante et les cocotiers omniprésents. Des panneaux sont disséminés çà et là pour nous rappeler d’être attentif aux chutes de noix de coco. Sage conseil, car, à plusieurs reprise, nous avons entendu la chute de ce fruit près de nous. Les occasions de faire de la photographie ne manquent pas. C’est vraiment l’endroit pour mettre nos talents à l’épreuve.

Windstar, dans le but avoué de nous divertir et de faire ses frais, offre une panoplie d’activités, gratuite ou payante : Yoga, sports nautique, volleyball, SPA ($), massage ($), etc. meublerons votre journée. Ceux qui ont pris l’option boisson pourront, pendant près de 7 heures, essayer la multitude de cocktails, de vins et de boissons offerts par nos gentils barmans. Tout est très bien organisé et le dîner, tout simplement délicieux. Steaks, poissons et paella forment les pièces centrales du repas avec les accompagnements et les traditionnels burgers sur BBQ, le tout, présenté dans un beau service de table. Comme toujours, les chefs et les assistants donnent du 110% avec le sourire.

Notre journée sera sous le signe du repos. Petite randonnée sur la plage encerclant l’ile, bronzage et puis de la plongée en apnée tout simplement incroyable. Un courant se faufile parmi le corail et nous propulse à travers la zone sans effort. Des poissons de toutes les couleurs, du plus petit au plus grand, nous attendent au tournant et sont nullement surpris de nous voir s’attarder quelques secondes devant eux. L’eau est chaude, peu profonde, et la visibilité presqu’infini. Il faut vraiment le voir pour le croire.

Mais toute bonne chose a une fin. C’est l’heure du retour à bord. Nous lèverons l’ancre vers 17h15 et le navire suivra la côte ouest de Taha’a à l’intérieur du lagon où, au loin, nous apercevons le Paul Gauguin, toute lumière allumée, qui rejoint la pleine mer par la passe dans le récif. Nous nous arrêtons pour la nuit au large du petit village de Tiva sur Taha'a alors que, sur la route qui encercle l’ile, des gamins coursent à vélo contre le Wind Spirit. Finalement une autre belle soirée se prépare sous un ciel étoilé. Pur bonheur!

* Windstar offre aussi des excursions intéressantes sur Taha’a le matin afin de permettre aux passagers de rejoindre le motu pour le lunch. Que ce soit du Jet Ski, du snorkeling, un tour guidé sur l’ile ou encore la visite des plantations de vanille, reconnues mondialement. Ainsi, Taha’a produit 80% de la vanille récoltée en Polynésie française.

http://www.tahiti-tourisme.pf/guide-des ... e-vanille/

A suivre. . .

[dandee2]

. . . suite

24 juillet

6 h. Je suis parmi les rares curieux qui prennent leur café sur le pont à cette heure matinale (tous des hommes!!). Je ne veux surtout pas rater l’arrivé du Wind Spirit à Bora Bora. J’ai eu le sommeil léger et ne compte pas le nombre de fois que je regardais l’heure afin de ne pas passer tout droit. Avouons aussi qu’il fallait bien que j’installe ma GoPro pour capter ce moment -
https://www.youtube.com/watch?v=hRuCL96b53Y

L’ile de Pora Pora ( en langue polynésienne, il n’y a pas de « B ») a été utilisée lors de 2e Guerre Mondiale par les américains qui y ont construit un aéroport sur le plus grand motu et doté l’ile de nombreuses pièces d’artillerie afin de prévenir une invasion japonaise (qui n’est jamais venue). Les 7 000 militaires ont laissés des traces encore bien visible aujourd’hui. En effet, ceux-ci, étant bien plus nombreux que les tahitiens, laissèrent une descendance importante et beaucoup de résidents de l’ile ont des pères et grand-père qu’ils n’ont jamais connu. Autre fait à noter, L’aéroport de Bora Bora fut le seul en polynésie, habilité à recevoir les gros porteurs avant la construction de l’aéroport de Fa'a'ā à Tahiti en 1960.

Le Wind Spirit doit obligatoirement passer par le seul chenal qui mène à l’intérieur du lagon et au village de Vaitape (5 000 ha) qui abrite près de la moitié de la population de l’ile (9 000 ha). Nous jetons l’ancre à environ 700m de la marina et du centre névralgique de la localité. Quoi de plus merveilleux que de prendre le petit déjeuner avec sa conjointe face au paysage paradisiaque qui s’offre à nous. Vraiment le top. Avec le vitrage du resto qui fait office de miroir, on dirait que nous sommes enveloppés de montagnes, de collines et du lagon turquoise. Sublîme. . . .

Nous avions réservé une excursion pour la journée avec Vavau Adventures (http://www.boraboraexplorer.com/) qui comprenait le Combo Tour de l’ile en 4X4 ainsi que le lunch traditionnel sur le Motu Piti (‘U’u Tai) près de la Pointe Matira. Nous avons été accueillis au quai par Alex, notre chauffeur, qui nous dirige avec d’autres passagers, vers la cabine arrière de son 4X4. Nous ferons ainsi, dans un confort relatif (c’était voulu!), le tour de l’ile sur la seule route carrossable.

Nous atteindrons en premier lieu un sommet escarpé sur une route qui n’en a que le nom. Montée à près de 45 degrés qui nous donnent des frissons malgré l’humidité omniprésente. Au sommet, c’est un magnifique panorama qui s’offre à nos yeux, un beau 180 degrés de cette partie de l’ile. C’est ici également que nous trouvons l’une des sept pièces d’artillerie encore en état qui datait tout de même de 1905 !!! (ce que les japonais ignoraient). Nos émotions seront mises à rude épreuve lors de la descente que nous ferons en marche arrière!!!!! On a rapidement concoctés un Plan B au cas ou les freins nous lâcherais. Aie Aie Aie. Plus de peur que de mal finalement.

Prochain arrêt – la fabrique artisanale de paréo. Devant la résidence des proprios, tout un assortiment de vêtements et de paréos attendent les acheteurs. On nous fait une démonstration sur la façon de porter le paréo (ma conjointe faisant office de modèle) et sa technique de fabrication à partir de tissus (coton ou polyester importé de Chine) et de colorants naturels. Pas de pression pour acheter ou non mais on s’est laissé tenter par deux paréos comme souvenirs de cette randonnée.

Après quelques heures de visite, d’explications et d’arrêts photos, Alex nous dépose au débarcadère pour prendre place à bord de la navette qui nous mène au Motu Piti pour le lunch. A bord d’une embarcation polynésienne (avec un seul ponton), nous arrivons sur le motu après avoir navigué près des petites maisons sur pilotis de l’hôtel Sofitel (magnifique). Nous sommes accueilli par le chef et ses aides qui feront une démonstration de cuisine traditionnel dans un four tahitien (le ahima'a), creusé dans la terre au fond duquel on place du bois, des noix de coco sèches recouverts de pierres volcanique; les pierres sont chauffées au rouge. Elles sont ensuite recouvertes d'un tapis de feuilles vertes de bananier sur lesquelles on dispose la nourriture que l'on recouvre de nouvelles feuilles de bananier, d'une nappe tressée de feuilles de purau, puis de terre ou de sable. Après quelques heures on ouvre le tout et l’on recueille les récipients et les poissons ou les viandes ainsi cuitent. Nous avons donc goûté du « uru » (arbre à pain), du taro, du fafa (épinard local), du poisson et du porc et du « poe », un genre de flan à la banane et au lait de coco (leur pouding chômeur ). Le tout, arrosé de bière local Hinano et de jus. Nous avons bien aimé l’expérience, surtout que manger sur des tables à picnic les deux pieds dans l’eau, ça change de nos repas à la maison.

Par la suite, nous monterons la colline par le sentier bien aménagé, qui nous mène directement au paradis. Quelle vue, quelles couleurs. On en a vu des beaux paysages lors de nos voyages mais ce panorama est irréel. Nous sommes vraiment privilégiés de pouvoir vivre ce moment. 50 Shades of Blue c’est le cas de le dire.

Mais il faut penser au retour sur la terre ferme. Il est déjà 15 h et la navette nous attend. A quai, un 4X4 nous prend en charge afin de déposer un autre couple au Sofitel et nous au quai de Vaitape. Le retour sur le Wind Spirit se fait rapidement et notre demeure a déployé ses ailes afin que les passagers puissent prendre de magnifiques photos sous une lumière parfaite. Ce soir, sur le Flying Bridge, c’est la réception organisée pour les « repeat cruisers », ceux qui en sont à plus de 2 croisières avec WIndstar. Les officiers, le capitaine et les chefs de départements sont présents et de belles discussions s’ensuivent. C’est bar ouvert. Par la suite nous avons eu droit à un autre excellent souper et une belle soirée à bord car c’était la soirée organisée par l’équipage de navire (chant, musique, danse, etc.). De beaux souvenirs.

A suivre . . .

[Vana]

Bonjour Dandee,

On voit que vous vous êtes donné un beau projet de fin de semaine (continuez à nous émerveiller avec votre CR). Vous nous rappeler tellement de beaux souvenirs. Quelle belle chance de faire une journée assez relax à Raiatea et quelle entrée magnifique à Bora Bora (votre vidéo est super, et la musique enchanteresse). Pour notre part, nous étions arrivés en plein jour, et je me revois, les larmes aux yeux: enfin je vivais ce rêve de voir Bora Bora. C'est aussi là que j'ai compris comment Bora Bora était formée et que l'accès n'était possible que par une minuscule (!) brèche dans un cercle de hauts fonds qui protège l'île. Encore aujourd'hui ça demeure un de mes beaux souvenirs.

Lâchez pas!!!

Au plaisir,

[dandee2]

Merci pour les commentaires. Je me surprend moi-même


25 juillet

Le but avoué, lors de la préparation de notre voyage avec Windstar, comprenait immanquablement l’inoubliable survol en hélicoptère de Bora Bora et ses environs. Malheureusement, après 10 années d’opération et de milliers de rêves exaucés, Tahiti-Helicopters ferma ses portes le 1er juin 2017, incapables économiquement de rester à flot. On blâme déjà la morosité de l’économie mondiale mais j’avoue que les tarifs pratiqués par les compagnies de croisières qui avaient l’exclusivité de vendre cet excursion à peser lourd dans la balance. On parle ici du simple au double. Bref, dans les petites iles et les endroits reculés, les compagnies de croisière pratiquent la coupe à blanc. Plus de gens auraient profité de cette activité si les tarifs avaient été raisonnables*.

Ceci étant dit, notre journée commencera donc par un transfert en taxi pour une matinée à la plage Matira, la seule de l’île qui est naturel. Bordant la route principale sur près d’un kilomètre, c’est un bel endroit pour flâner et prendre un peu de soleil tout en sachant que le lagon est là pour nous rafraîchir un tant soit peu. Pas de vagues, un beau sable fin et un lagon si invitant qu’il est possible de marcher près de 300 mètres au large, tout en rencontrant sur nos pas, la fascinante tortue marine ou encore une raie égarée. Quelques restos et beach bar longent la plage afin de nous sustenter.
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/ ... ynesia.jpg

C’est ici, sur la plage, que nous retrouvons par hasard un jeune couple marseillais rencontré à Moorea en lune de miel et qui avaient fait l’excursion en motomarine avec nous au Moorea Activities Centre. Ils nous confient que l’Intercontinental Bora Bora Resort sur le Motu (avec ses maisons sur pilotis) est merveilleux et digne de sa réputation de vacances de rêve. . . Mais ils s’ennuient à mourir et les repas encore plus chers qu’ils ne le pensaient (sans compter qu’il faut payer la navette chaque fois pour se rendre à Vaitape). Selon eux, c’est hydilique comme endroit mais pas fait pour tout le monde, même si on a les moyens. Ils écourtent donc leur séjour à Bora Bora pour retourner à Moorea. Bora Bora n’a donc rien d’Occupation Double!!!

Après 2-3 heures passé sur la plage, le taxi revient nous prendre à l’endroit convenu afin de visiter et profiter d’un bon repas au World Famous Bloody Mary’s. World Famous parce que juste le fait d’être ici relève de l’exploit et que tout le monde qui voyage dans cette partie du monde semblent le connaître. Pour faire changement du poisson cru, nous nous tournons vers un excellent burger (Jimmy Buffet cheeseburger) et de quelques bières et cocktails . Drôle à dire, mais ça nous fait du bien du « comfort food » de temps à autre, même ici.

La décoration du resto est vraiment bien pensée. Près de la route, sur les deux côtés du sentier menant au resto, se trouve les noms des vedettes et personnes riches et célèbres qui ont fréquentées l’endroit (pas nous !!) À l’entrée, un vestiaire ou il faut laisser nos . . . sandales. Le sol étant recouvert de sable aussi bien jouer le jeu jusqu’au bout. À l’entrée également se trouve une boutique pour se procurer T-Shirt, chandail et tout le kit du parfait touriste. Des feuilles de bananiers et de palmiers font offices de toit. Sur un des murs trône un tableau d’affichage avec des centaines de billets de banque que les visiteurs ont laissés. Les salles de bain réservent une surprise que je vous laisse découvrir par vous-même.

En soirée, le Bloody Mary’s offre une expérience culinaire qui consiste à choisir soir même le poisson qui sera apprêté pour le plus grand plaisir des fins gourmets. Inutile de dire que les poissons sont frais du jour. Avis a ceux qui sont tenté, allez-y sans retenu, on ne vit qu’une fois.
http://bloodymarys.com/francais.html

Après près d’une heure trente, le taxi se pointe comme prévu pour le retour à Viatape. Nous en profitons pour admirer le paysage et voir comment les gens vivent là-bas. Au village, nous décidons de prendre une marche sur le bas-côté de la route malgré la chaleur. Nous effectuons une petite visite du côté du Super U (leur Super C) ou l’on vend de tout, de la baguette française, au vin (belle sélection) en passant par les effets scolaires. On remarque que les viandes sont congelées, même les steaks, car ils proviennent de Nouvelle-Zélande.

La navette du Wind Spirit nous attends et nous retournons au navire vers 15h afin de profiter du reste de l’après-midi à la piscine et au bain tourbillon. Vers 16 h, le ballet incessant des zodiacs reprend de plus belle car ce soir Windstar nous offre une surprise sur le Motu Tapu, près du chenal.

Pour les gens qui désiraient relaxer aujourd’hui, les navettes faisaient l’aller-retour sur le motu pendant la journée. C’est maintenant notre tour et nous embarquons vers 17h20 à bord d’une des pirogues du coin, affrétée par WS pour accélérer l’arrivé des passagers, car nous sommes une bonne trentaine à bord. Un comité de réception (Directeur de l’hôtel, Capitaine, Responsable du Spa et Responsable des activités) nous attend et offre aux convives un beau collier de tiare, fleur emblématique de la Polynésie. C’est bien parti!

Le soleil se couche tôt à cette latitude et rapidement nous nous rendons à l’ouest du motu pour contempler le plus beau coucher de soleil qui nous ai été donné de voir et ressentir. Avec près de 150 personnes sur la plage, tournées à l’unissons vers l’ouest, on pense presqu’avoir entendu cette merveilleuse chanson, une sérénade à la nature. Magique.

La mer
Les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d'une chanson d'amour
La mer
À bercé mon cœur pour la vie
(Charles Trenet)

Mais on est vite rattrapé par le bruit de la génératrice qui s’efforce de nous fournir l’électricité pour le repas et éclairer nos pas.

Les tables, bien misent, nous attendent alors que nous sommes appelés, table par table, vers le buffet monté magnifiquement par l’équipage. Du thon rouge (cru), un cochon de lait, des viandes braisée, bref, on a l’embarras du choix c’est peu dire. Si tout le monde avaient eu un forfait boisson, on se serait crûs aux Noces de Cana. On se paie une belle bouteille pour célébrer notre repas.

Mais WIndstar nous a réservé une belle surprise, soit une démonstration de danse lascive tahitienne offerte par un groupe local avec comme toile de fond, cette musique envoutante qui ne cesse de nous hanter depuis notre retour. Mais ce n’est pas tout, les danseurs du feu, nous font une démonstration incendiaire de leur talent. Quelle synchronicité. Vraiment top. Bravo à Windstar, à l’équipage et aux artistes. On en redemande.

Il est 20 h 30 et c’est le retour. Le Wind Spirit est illuminé de tous ses feux pour notre plus grand plaisir. Tous les hublots sont éclairés et ça donne un bel effet. Nous levons l’ancre vers 21 h pour poursuivre notre route car la croisière n’est pas encore terminé. A bord, la majorité des passagers sont sur le pont et attendent fébrilement le déploiement des voiles et la musique de Vangelis qui accompagne toujours chaque départ. Encore une fois, c’est une réussite, Tout le monde est heureux et ça se voit.

*Une nouvelle compagnie a été créé en octobre 2017 afin d’offrir un service similaire à l’aide d’hydravion (Cessna 206) et a des tarifs plus concurrentiels. http://www.tahiti-air-charter.net/compagnie

A suivre. . .

[toutou]

Comme c'est plaisant de vous lire par cette journée pluvieuse, je me vois tellement sur ce voilier ou sur la plage de Matira un bon cocktail à la main

Merci de me faire rêver...

[Roxane1]

Bonjour Dandee2 et les autres,

Ouf! Quel beau compte rendu! Vraiment intéressant et ça donne vraiment le goût d'y aller, ou du moins en rêver!

Merci.

[dandee2]

Bonsoir tout le monde,

La conclusion de mon récit s'en viens.

En attendant, je viens de voir un spécial de Air Tahiti NUI de LAX à PPT pour janvier. 1200$CA (aller retour). Le vol Ottawa LAX lui, est à 410$CA.
Windstar est a 2500$. Ça coûte cher mais quand même intéressant si on a des points Aéroplan pour la section Ottawa-Tahiti car la croisière reviens à environ 3700$ (plus les autres dépenses).