NCL Epic /Rome-Miami /16oct au 2nov.

[toutou]

O.K. j’essaie de terminer avec le volet escales.

PALMA DE MAJORQUE : (Île Baléares, Espagne)

Nos heures pour cette escale seront plus courte que les autres puisque nous arrivons à 13hres pour en repartir à 19hres donc, nous décidons de limiter notre exploration au centre-ville et ses alentours. Notre virée en train pour ce rendre au village de Soller sera remis à une autre visite car on se promet bien de revenir.

Le fait d’arrivée plus tard nous permet de bien apprécier le panorama qui se découvre devant nous à fur et à mesure que nous approchons sans avoir à ce lever aux aurores. Et ce que nous y voyons, nous plait déjà. Une des premières choses que nous apercevons en entrant dans le port est la magnifique cathédrale de style gothique La Seu, suivi du centre-ville et son immense marina.

Il faut savoir que Palma est la capitale des îles Baléares et l’une des destinations touristiques les plus prisés des européens. Et si l’on se fit aux nombres et à la grosseur des bateaux et voiliers qui sont dans la marina, la clientèle doit-être assez aisée. D’ailleurs, le tourisme est la principale source de revenu de l’île mais peu de compagnie de croisière l’offre.

Du port, il est très facile de se rendre à la Cathédrale qui se trouve en fait à l’autre extrémité de la baie. Il suffit soit de prendre la navette (6euros) qui vous y amène en moins de 15 minutes ou de marcher tout le long de la berge via la piste pédestre et cyclable qui y est aménagé. Mon frère à opté pour la marche et ça leurs à pris une heure juste pour s’y rendre, sous un soleil de plomb. Il n’y a pas à dire, l’endroit vaut le détour car cette Cathédrale, la deuxième plus grande d’Espagne après celle de Séville. Son style gothique avec l’eau et les palmiers qui l’entoure lui confère un p’tit quelques chose de vraiment spécial. Malheureusement, nous n’y somme pas entré car l’endroit est en rénovation, ce qui est moins intéressant. Par contre, nous nous sommes perdus dans les petites rues et ruelles qui englobent tout le quartier. De toute beauté de voir les façades des immeubles avec leurs galeries en bois et leurs grillages en fer forgés et ses autres avec des beaux auvents rouge et jardinières fleuris. Ses petites ruelles renferment nombres de boutiques et tout genre. On en déniche même une qui vend de bonbons aux kilos, que demander de plus… Et que dire de la grande place, fermé à l’occasion du marathon des enfants, bordée encore une fois de palmiers. Je me croirais dans un film de Pedro Almodovar. Il n’y a plus de doute, je suis bel et bien en Espagne et j’adore…..

On choisi de s’attabler sur l’une des nombreuses terrasses qui borde la rue pour enfin manger une bonne paella aux fruits de mer accompagné d’une méga sangria. Question de faire descendre le tout, nous poursuivons notre marche sur le front de mer. Les allées sont encore une fois bordées de palmiers, d’ailleurs, ils y en a partout signe que nous sommes sous un climat plus chaud.

Après avoir déambulé dans un si beau décor, il faut bien retourner au navire. Sur la route, nous remarquons les nombreux hôtels et restaurants du centre-ville, juste en face de la marina. En une seule après-midi, j’ai vite compris comme il doit être agréable de passer ses vacances ici. Le rythme de vie, ses habitants, le nombre de chose à y faire et voir mais surtout, la beauté des lieux mon littéralement mon conquis. Cette escale fût définitivement un gros coup de cœur.

À suivre, Barcelone.

[Francine Hamel]

Bonjour Toutou

Des contraintes personnelles m'ont empêchée de participer dernièrement au monde des croisières.... Mais je voulais prendre quelques minutes pour te remercier de partager avec nous ton expérience de transat.

Concernant Marseille, ils ont fait de grosses rénovations dans le vieux port, sans doute à cause de leur participation à l'année de la culture. J'ai vu avant, pendant et toi après. Je pense que cela a du faire grand bien. Tu ne l'as pas perçu et c'est tant mieux, mais c'est une ville où les vols à l'arrachée sont légion. La pauvreté a créé un mileu favorable au développement des gangs. Le soir, je ne serais pas trop hardie de m'y promener seule.

Le Figaro titrait encore dernièrement: "malgré les violences, l'ambition touristique de Marseille reste intacte"...

Je vois que vous avez vraiment pris le goût de visiter l'Europe. On y fait tellement de belles découvertes, en plus du dépaysement continuel.

au plaisir de continuer à te lire...
Francine

[Marine]

BRAVO TOUTOU!

Ton cr est très intéressant et me rappelle de très beaux souvenirs. Comme le dit Francine, l'Europe nous permet de découvrir toutes sortes de belles villes avec différentes architectures et qui regorgent d'histoire.

J'ai hâte de lire la suite.

Marine

[toutou]

C’est vrai qu’il y de bels choses à voir et découvrir en Europe mais suite à cette deuxième transat, j’ai réalisée que j’avais une nette préférence pour les villes situées en bordure de mer. Que ce soit sur le continent ou sur une île, pas de différence tans qu’il y a de l’eau à proximité, je suis heureuse. Pas que les autres villes ne sont pas intéressantes mais côté visuel et rythme de vie, ça me rejoint plus donc, on va continuer à faire des transats.

Avant de continuer, j’aimerais ouvrir une parenthèse au sujet de la boisson que l’on met en consignation et que l’on nous remet la veille du débarquement. Avec NCL, il n’y a pas de restrictions sur le nombre de bouteilles de vins que l’on peut embarquer puisque la compagnie charge un frais de 15$ US pour chaque bouteille que vous voulez avoir avec vous ou ils les garde en consignation, sans frais. Une fois acquitté, vous pouvez les apporter n’importe où sur le navire. Comme je connaissais cette règle, nous avons demandé à mon frère de faire mettre, à son nom, en consignation celles que j’avais achetées à Marseille, sachant fort bien que l’on lui remettrait la veille de son débarquement à Barcelone. Comme de fait, il alla les récupérer et nous les apportas et nous avons ainsi eu notre réserve de vin pour la transat sans avoir payé les frais de 15$. C’est un p’tit tour de passe-passe que peux de gens connaisse.

Bon maintenant, la suite….

BARCELONE (Espagne) :

Encore une grosse journée qui s’annonce mais nous savons déjà que nous n’aurons pas assez de temps pour en profiter pleinement car Barcelone est l’escale finale pour ceux qui, termine la portion Europe. Pour beaucoup d’autres, c’est le point de départ de la transat et pour nous c’est simplement une escale. De notre côté, puisque nous continuons, nous n’avons rien à faire, pas de nouvelle procédure d’embarquement ni de nouvelle carte. La veille, on nous a remis un bout de papier où il était indiqué « In Transit » et nous n’avons que le présenter pour entrer et sortir du navire, rien d’autre. Nous ne sommes même pas tenus de refaire l’exercice d’abandon puisque nous l’avons fait à Rome.

Comme mon frère et ma belle-sœur débarque ici, ils ont laissés leurs valises de notre cabine, le temps que nous allions déjeuner tranquillement et de laisser le plus gros des passagers débarquer, De toute façon, la ligne pour les taxis est tellement longue qu’il ne sert à rien de s’y précipité. On s’installe sur notre balcon et lorsque l’on constate qu’il y a moins de monde, on descend en leurs compagnie. Avant de débuter notre visite de la ville, nous nous rendons tous ensemble à l’hôtel qu’ils ont réservés pour deux nuits, soit l’hôtel Barcelona Universal, situé dans le quartier des spectacles et juste à côté de La Ramblas.

Lien : http://www.hotelbarcelonauniversal.com/default-fr.html

Le temps de faire l’enregistrement et de mettre leurs bagages en consigne, nous voilà parti à la découverte de Barcelone. Pour maximiser notre courte journée, puisque le navire doit repartir à 16hres, nous décidons d’un commun accord de faire le tour de ville en autobus Hop On – Hop Off qui nous permet de descendre et embarquer aux principaux sites touristiques. Le coût pour une journée était de 24 euros/pers et de 31 euros pour deux jours. Nous commençons notre tournée par le nouveau quartier située dans les anciennes habitations des athlètes lors des jeux olympiques de 1992. Ces dernières ont été récupérées, rénovées et revendus et forme maintenant le quartier le plus « in » de Barcelone. Il faut dire qu’avec son emplacement de choix, directement au bord de la mer, il n’est pas surprenant d’apprendre que le prix demandé pour y habiter est assez élevé.

En revenant vers le centre-ville, nous nous retrouvons pris dans un bouchon de la circulation et avançons à pas de tortue. Une heure plus tard, nous n’avons pas le quart de fait et voyant l’heure avancée de plus en plus pour nous, décidons de descendre près de La Ramblas et revenir vers le port à pied, quittant ainsi nos compagnons de voyages. Par la suite, mon frère m’a dit que nous avions bien fait de descendre car le tour leur à pris plus de trois heures et que le secteur du Stade Olympique était complètement bouchés. Naturellement, nous n’avons pu vu grand-chose de Barcelone à part La Ramblas mais c’était ça ou risqué de manqué le navire.

Il parait que le dimanche, avec en plus quelques navires au port (3), c’est toujours comme ça. Nous le serons pour la prochaine fois mais c’est sur et certain que nous y retournerons et pour plus longtemps. En passant, mon frère a adoré son séjour, plus que Rome.

Prochaine escale, Madère

[Francine Hamel]

Bonjour

Drôle que ton frère était à un hôtel qu'on a déjà pris. On l'a beaucoup aimé! super bien situé et moderne... Dommage que vous ayez peu de temps pour Barcelone. Il y a tant à voir!!!

au plaisir
Francine

[Marie-Claude]

Lâche pas ma Toutou... je continue à te lire avec plaisir!
Barcelone... une très belle ville, heureusement que plusieurs transat la visitent, alors vous aurez la chance de la découvrir en profondeur, du moins je vous le souhaite!!!

Je ne connais pas Madère - alors j'ai très hâte de lire tes commentaires.
Vivement la suite...

MC

[supermouse02]

Bonjour Toutou,

Merci beaucoup pour votre compte-rendu! J'aimerais faire les transats un jour et aussi voir l'Europe.

Je vous suis avec beaucoup de plaisir.

Merci encore!

Supermouse02

[toutou]

C’est le fun de vous voir suivre mon compte-rendu qui avance à pas de tortue. Merci de votre patiente et de vos encouragements, ça m’aide à continuer.

Ma portion « escales » ce termine aujourd’hui avec les deux dernières, en fait, les seules de notre transat donc une qui valait vraiment la peine, Funchal.

Avant d’y arriver, nous avons eu droit à deux magnifiques journées en mer avec au menu, soleil, chaleur et même un spectacle de dauphins. Nous n’en avons jamais vus autant dans les mers du sud. La traversée commençait bien.

MADÈRE (Portugal) :

L’île de Madère, que l’on nomme le Jardin flottant, se trouve à environ 900 km au sud du Portugal et 600 km des côtés du Maroc. Funchal, qui tire son nom de la Fenouille, en est la capitale et principale ville et l’arrivée par sa baie est assez spectaculaire visuellement et ce, malgré un plafond nuageux très bas et de la pluie. Le relief très montagneux et verdoyant fait penser à la Dominique dans les caraibes. Quand l’on ajoute à ça toutes les maisons blanches avec leurs toits rouges construites à flancs de montagne, le tableau final est parfait et c’est quelque chose que l’on ne peut voir et apprécier qu’en arrivant par la mer.

Malgré le fait que la température était contre nous, cela ne nous a pas découragé car après tout, c’était une journée spéciale puisque mon conjoint, BigBen fêtait ses 50 ans alors, nous allions en profiter au maximum. Nous avons pris nos imperméables et notre parapluie et en avant la visite de la ville. On était juste content de ne pas avoir achetés d’excursions pour visiter le reste de l’île. Comme pour les autres escales, un service de navette payant était disponible pour nous y rendre. On nous débarque près du parc de Santa Catarina et de là, tout est a distance de marche : la cathédrale, le théâtre municipal, plusieurs musées et même une distillerie car il ne faut pas oublier que c’est ici que l’on produit le fameux vin de Madère. Au fur et à mesure que nous marchons, le ciel s’éclaircie et les nuages se dissipent. Il faut croire qu’il y a quelqu’un qui travail pour nous en haut…

Voyant cela, nous décidons de nous rendre jusqu’au téléphérique qui mène à la paroisse de Monte situé tout en haut. L’ascension dure 15 minutes et nous fait survolez la ville avec tout ses jardins et vue sur la baie de Funchal. Avec le soleil qui se met de la partie, le dégradé de bleu de la mer apparaît, le vert des feuillages devient plus vive et l’orange de toiture plus éblouissant, de toute beauté. Une fois en haut, plein de chose s’offre à nous dont le jardin tropical Monte Palace avec son musée des pierres semi-précieuses ou le jardin de la Quinta Do Monte car il faut dire qu’avec le climat que l’on retrouve ici, ce ne sont pas les jardins qui manquent. Il y a aussi l’église de Nossa ou le mirador des Babosas. On y retrouve même le tombeau du dernier Empereur d’Autriche et un peu plus loin, le Sanctuaire de Nossa Senhora da Paz, où serait apparue la vierge. Mais la vrai raison qui nous mène ici c’est la possibilité de faire la descente assis dans un panier d’osier. À ma connaissance, ce n’est qu’ici que l’on peut le faire et même si il nous en coûte 50euros pour à peine 10 minutes, c’est à faire.

Une fois redescendu, nous continuons notre visite de la ville à pied et décidons de faire une pause sur la terrasse du Ritz pour ce rassasié avec un bon café et quelques sucreries glacés. Après tout, ce n’est pas à tous les jours que l’on a 50 ans et l’endroit est tellement beau.

Les amateurs de shopping ne seront pas en reste puisque l’île est reconnu pour son vin mais aussi pour sa broderie, vannerie, son sucre et miel et même du rhum. En gros, c’est une île qui a beaucoup à offrir autant du point de vue excursions que culturels. Impossible de tout voir en une seule visite. Conclusion, il va valoir y revenir…

Ça fait des années qu’un collègue de travail me parle de son île natale, Madère. Me vantant sa grande beauté et m’encourageant à y aller. Même si je n’ai vue ou plutôt entrevue qu’une mince partie, je peux dire qu’il ne m’a pas menti, son île est vraiment spéciale. Pas pour rien que la surnomme La Perle de l’Atlantique.

Cette escale fût la dernière avant notre traversée de six jours qui nous mena à St-Thomas. Toutes nos journées en mer ont été pareilles: soleil, chaleur et pas une vague, un vrai lac. Ce n’est que notre deuxième traversée mais celle-ci descendait plus au sud que la précédente et nous avons constatés une grosse différence au niveau de la température qui était beaucoup plus chaude. Avec autant de journée en mer, ce n’est pas à négliger surtout lorsque l’on est amateur de soleil et que l’on veut profiter des ponts piscines. Sur ce côté, nous avons été gâtés en masse.

Notre dernière escale avant notre arrivée à Miami fût St-Thomas dans les îles vierges américaines. Comme c’est loin d’être notre première visite, tellement que c’est rendu qu’on leurs dit à la blague que l’on se reverra dans 6 mois et c’est à peu près ça. La priorité pour cette journée était de me trouver un endroit d’où je pouvais faire des appels téléphoniques, question de prendre des nouvelles de mon père. Le meilleur endroit demeure toujours celui où va l’équipage, juste à leurs demandés. Ce magasin où l’on vend de tout à bas prix ce trouve juste de l’autre côté de la rue principale, en face du port d’Havensight et pas très loin du téléphérique qui en passant, est fermé pour rénovation.

Une fois fait, nous avons été passés notre journée sur la plage de Sapphire Beach qui est plus tranquille et moins connu que les autres. En fait, nous avons eu la plage pour nous seul jusqu’à l’arrivée des passagers de l’Oasis OTS. Disons que ça rempli une plage assez vite…N’empêche que c’est très agréable de terminer une transat par quelques arrêts dans les caraibes. Pour notre prochaine, c’est quelque chose que nous allons regardez de plus près.

Le tout fût suivi par deux autres journées en mer et bizarrement, c’est là que nous avons eu les journées les plus nuageuses mais pas grave, on est en vacances et c’est parfait pour commencer nos valises en vu du retour.

Ce qui met fin au volet « escales ». Je vous reviens sous peu pour vous parler plus en détails du navire, de notre vie à bord durant cette croisière, de la clientèle et pourquoi c’est maintenant MON navire préféré.

À plus…

[Marie-Claude]

Tu me fais languir... mais je suis patiente!! Si je n'arrive pas à le lire avant notre départ (Mercredi prochain) sois certaine que je te lirai à mon retour durant les vacances de Noël!!!

Lâche pas ma Toutou!!!

MC

[scully2012]

woauh! j'ai hâte de lire les commentaires sur le bateau!

Concernant les escales, j'ai vu que pour 2014 le bateau a la fin de la transat, fait escale a St thomas ET a saint martin!!!

au plaisir de lire la suite!............

[toutou]

Me voici rendu à la section « navire » et à mon évaluation du Epic. Comme j’ai déjà fait un compte-rendu détaillé à son sujet lors de notre dernière croisière à son bord, j’essaierais cette fois-ci de faire un condensé.

Tout d’abord, le navire était à pleine capacité autant pour la partie Europe que pour la transat, ce qui est plutôt rare. Il faut dire que NCL a fait une vente de liquidation deux semaines avant le départ pour la portion transat. Exemple, cabine intérieure à 350$/pers pour 13 nuits. Il y avait aussi un forfait comprenant le vol Boston-Barcelone, Miami-Boston plus 2 nuits d’hôtels à Barcelone, transfert et cabine intérieure pour 1,200$ U.S. À ce prix là, on comprend mieux pourquoi c’était plein.

Et maintenant, un peu de statistique sur les passagers (portion transat), en commençant par le « Top » 5 des nationalités parmi les 53 présentes à bord.

États-Unis : 1,224
Royaume-Uni : 646
Allemand : 307
Canada : 275
Suédois : 120

Âge moyen : 59 ans
Le plus jeune passager : 1 an
Le plus âgé : 95 ans

De son côté, l’équipage provenait de 70 nationalités différentes.

CABINE : (11104)

Pour cette croisière de 17 jrs, nous avions opté encore une fois pour une cabine avec balcon située dans l’un des angles avant du navire et non loin des ascenseurs. Ses dernières ont l’avantage d’avoir un balcon ayant le double de profondeur. Sinon, la configuration de la cabine reste la même. La seule différence était que le lit était près du balcon, ce qui permet un plus grand dégagement pour circuler. Tout le reste était identique : espace de rangement en quantité, puissant séchoir à cheveux, cafetière toujours très appréciée et leur fameuse salle de bain décloisonnée que j’ADORE…

Même si les cabines du Epic et de NCL sont plus petites que la moyenne de l’industrie, jamais nous ne nous sommes sentis à l’étroit car tout est extrêmement bien pensé.

BALCON ou l’importance d’être du bon côté :

Lors d’une transat (est-ouest), il est important de savoir que le côté ensoleillé du navire ce trouve à babord ou gauche alors que le côté tribord ou droit ce trouve à l’ombre. Pour faire changement, nous avons optés pour le côté ensoleillé question d’en profiter au maximum. Notre excellent garçon de cabine m’a même déniché une chaise longue pour jouir au maximum de mon balcon. Ça n’a pas été long avant que je déchantée car dès 8hres le matin, la chaleur se fait déjà sentir. J’avais à peine le temps de prendre mon café qu’il valait que j’entre dans la cabine pour me rafraichir. Pas besoin de vous dire que plus la journée avance, plus il y fait chaud et comme il n’y a pas de vent, c’est l’enfer et ce, jusqu’à la tombé du soleil. Impossible d’y lire, même dans le seul petit coin à l’ombre.

CONCLUSION : Pour une prochaine transat, c’est sur et certain que nous retournerons du côté à l’ombre car là, on peut au moins profiter plus longtemps du balcon et ce, même si c’est plus venteux. Peut-être pas pour s’y faire bronzer mais au moins pour y prendre ses repas.

CABINE SOLO (Studio) :

J’aimerais prendre quelques instants pour parler des cabines pour personnes voyageant seules. Le Epic a été l’un des premiers navires à offrir ce genre de cabine à cette clientèle et comme ses dernières ce trouvaient sur le même étage que nous, j’en ai profitée pour aller « zieuter » et voir comment ils étaient installés. Un espace « lounge » avec machine à café spécialisé (gratuit) y est aménagé et chaque soir, un hôte de NCL y organise un 5 à 7 pour les personnes voyageant seules, peut importe où est leur cabine. Le tout avait l’air très convivial et quelle belle façon de rencontrer de nouvelles personnes. Plusieurs partaient ensuite ensemble pour aller manger, preuve que ça réussi.

RESTAURATIONS:

Juste pour donner une petite idée, il y a 14 restaurants (payant et gratuit) à bord de l’Epic et 18 bars et salons. En somme, il y en a pour tous les goûts et budgets en commençant par les deux salles à manger gratuites soit le Manhattan et le Taste.

Dans ses deux salles à manger principales, le menu est le même. Il y a toujours une section « toujours disponible » ainsi que celle qui change à tout les soirs avec en prime, la spécialité du jour que l’on doit demander à notre serveur. Ce qui différencie les deux salles est l’ambiance. Le Manhattan, situé à l’arrière du navire est plus grand et son décor est plus chic. L’endroit possède même une piste de danse avec band « live ». Naturellement,, c’est aussi plus bruyant et il y a un code vestimentaire contrairement au Taste, situé au centre du navire.

Personnellement, nous préférions manger à ce dernier car c’était plus tranquille de part sa configuration mais surtout parce qu’il ce trouve juste à côté de l’Atrium où ce produise différents groupes chaque soirs. Ce qui est beaucoup plus intéressant lorsqu’il y a de l’attende pendant les heures de grandes achalandage, soit entre 19h00 et 20h30. En ce qui concerne la qualité des aliments, pour nous c’était tout à fait correct. Comme toujours, il y des plats plus réussi ou plus dans nos goûts que d’autres mais jamais rien de mauvais. Au total, nous avons mangés 5 soirs en salle à manger.

BON À SAVOIR :

Sur NCL, il n’y a pas de table assignée que du « Freestyle » ou le « je mange quand, avec et où je le veux ». Et comme sur tous les navires ayant cette formule, lorsqu’il n’y a plus de place de disponible, on nous remet un « téléavertisseur » en attendant mais nouveautés, NCL nous remet en même temps un coupon nous donnant droit gracieusement à un verre de mousseux ou boisson gazeuse à échanger dans l’un des bars question de se faire pardonner pour l’attende. Ce n’est pas grand-chose mais l’intention est bonne. De façon générale, nous n’avons jamais attendu plus de 20 minutes.

RESTAURANTS AVEC SUPPLÉMENTS :

C’est ici que ça ce passe avec NCL et pour nous. Ne serait-ce que pour changer de décor, pour avoir une ambiance plus feutrée mais surtout, pour la qualité supérieur, le service et la diversité. Sur le Epic, le choix ne manque pas : chinois, japonais, sushi, italien, steakhouse, brésilien, français et bar à nouilles et tous à prix abordable.

Nous avons fait 7 restaurants pour moins que 150$ U.S/personne.
Soit la Cuccina (italien) : 15$ (bon)
Le Moderno (brésilien) : 20$ (pour les gros appétit)
Le Cagney’s (steakhouse) : 25$ (très bon)
Le Bistro (français) : 20$ (excellent)
Le Shangai (chinois) : 15$ (très bon)
Et deux fois le bar à nouilles : prix à la carte (un de nos préféré, excellent)
En plus, nous avons eu une réduction pour avoir réservé d’avance trois d’entre-eux.

BUFFET : (mention spéciale)

En général, ce n’est pas l’endroit que je préfère mais celui du Epic mérite que j’en parle. Pour moi, le buffet le plus complet était celui du Celebrity Eclipse mais là, on vient d’en trouver un encore plus complet. Tellement, que nous avons pris tout nos petit-déjeuner, diner et 5 soupers ici.

Jamais vu autant de sélection, il y a de tout. Suivi de prendre le temps de faire le tour car il y a des stations avec toutes sortes de spécialités partout, même à l’extérieur. Malgré le fait qu’il y a énormément de monde, les files d’attende ne sont jamais longues car ça roule. Exemple, le matin, il y a 6 stations pour les œufs et omelettes et chacune roule à deux poêles. Pratiquement tout est doublé. Comme je le disais, il y a de tout et même des choses que je n’ai vue nulle part d’autre comme les immenses crevettes tigres grillés le midi au grill ou les moules, belle sélection de beaux fromages, pièce de viande et autres spécialités locales le soir venu. Et que dire de leurs crêpes maison et de leurs comptoir à crème glacé, un vrai pêché…Sincèrement, je ne comprends pas les gens qui disent que c’est toujours pareil. Soit qu’ils n’ont pas fait le tour ou qu’ils sont difficiles.

Mention spéciale aussi pour les heures d'ouvertures de ce dernier. Par exemple, même si il est inscrit que le petit-déjeuner ce termine à 11hrs (ce qui est tout même assez tard), une des station reste ouverte et la préposé à l'accueil nous indique laquelle. En réalité, quand une station ferme, une autre ouvre ailleurs. Sinon, il y a le pub O'Sheenan qui est ouvert 24hres/24. Impossible de mourir de faim sur ce navire.

Je vous reviens le plus vite possible pour la suite….

Désolée Marie-Claude, j'essaie de faire le plus vite possible mais tu peux déjà comprendre pourquoi c'est mon navire favori et ce n'est que la première partie. Bonne croisière à toi et Mariette.

[scully2012]

merci merci merci!
on attends la suite!

[supermouse02]

Bonjour Toutou,

Merci beaucoup pour votre compte-rendu!

Vive la suite!

Supermouse02

[boucalatrem]

Bonjour Toutou,

Je suis votre CR avec intérêt. J'apprécie beaucoup les précisions apportés dans votre CR. Merci

Boucalatrem

[Astrolabe]

Bonjour

Toutou- Vraiment c'est tres agreable de lire votre resume de ce voyage abord du navire NCL.
La reputation de NCL etait so so mais avec la construction de ce nouveau navire EPIC je crois que ils ont frappe dans le mille!
Content de lire que vous avez visiter tant de differents resto donc l'endroit de nouilles. Miam miam ca me donne appetit a vous lire.
En passent il y avait un resto du nom de Shanghai mais avez vous gouter au nouilles dite " Shanghai "?

* Cabine Solo- Je trouve ca tres bien de la part de NCL. Sachez que il fut un temps, abord des navires transatlantiques, d'avoir un certain nombres de cabines pour personnes seules mais la les navires modernes dite croisieres on pas mal delaisse ca. Donc je souhait que dans le futur lors de la construction de nouveau navires ils pense au gens qui aime voyager sur les navires mais en solo.

** Permettez-moi de mentionner ce photo reportage (en anglais) de plusieurs pages tres complet abord du EPIC. Ca va permettre au gens du Forum de voir en images certains des endroits que vous avez si bien decrit dans votre CR.
http://www.fromthedeckchair.com/2012/03 ... ort-day-1/

Toutou-Grace a votre tres beau et complet resume de voyage je vais regarder pour un futur transat sur le EPIC. Merci.